J'ai commencé à traduire des poèmes de Mallarmé parce que je n'étais pas content avec les versions anglaises que je pourrais trouver. Dans la traduction, les poètes qui ont précédé et ont suivi Mallarmé sont accessibles à nous. Baudelaire est accessible à nous, Apollinaire est accessible à nous. Je ne pouvais pas trouver une voie dans Mallarmé dans les versions anglaises que j'ai trouvées et j'ai pensé que ce n'était pas sa faute.
Mallarmé était un enseignant anglais et il fit des traductions des poèmes de Edgar Allan Poe, dans la prose, évidemment. Mais ses poèmes dans le français étaient métriques et rimés. Quelquefois le sens de ses poèmes fut guidé par la rime et le mètre il a choisi, nous permettre de dire. Nous souvenons que il écrit «le poète céde l'initiative aux mots» dans «Variations sur un sujet». Homophones ont différentes significations en certaines de ses lignes aussi, qui ne pouvaient jamais être rendues dans la poésie en une autre langue, que seulement sous la forme des notes. Mon incapacité de reproduire les couches multiples de poèmes de Mallarmé dans la poésie d'américain est un désappointement, mais est inévitable. Ces couches comptent sur les similarités de son qui ne sont pas disponibles dans notre langue.
La plupart des traductions de Mallarmé dans les vers anglais utilise des mètres traditionnels. Cela m'a semblé être l'approche fausse. Nous avons vu comment Mallarmé s'est approché de la traduction de Poe, enfin. Mallarmé a traduit à ce manière bouge même davantage loin du sens du poème parce qu'une deuxième structure de poésie rimée, cette fois dans l'anglais, impose un cadre étranger au poème. Ces traductions, peu importe comment soigneusement construit, souvent sonnent académique à moi.
Je viens d'une tradition de poésie qui a appris beaucoup de la poésie de français du 20ème siècle, Apollinaire, Reverdy, Desnos et tout le reste d'entre eux. Certains des grands plaisirs dans la musique dans la poésie d'américain du 20ème siècle viennent des réponses à la poésie française, par exemple, «The Tennis Court Oath» de John Ashbery, ou «Variations done for Gerald Van Der Wiele» un décollage de Rimbaud par Charles Olson, ou les traductions de Ted Berrigan de poésie française dans «Bean Spasms». Avec optimisme la musique j'ai entendu là des échos un peu dans ces versions.
Je peux recommander un grand livre sur Mallarmé et comment il a écrit – «Unfolding Mallarmé» de Roger Pearson (Clarendon Press, 1996). Les traductions de Mallarmé dans la prose anglaise par Anthony Hartley (Penguin, 1965) m'ont l'air d'être plus fidèles, dans l'ensemble et lire plus liquidement, que d'autres j'ai vu.
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